
tintintin, tin, tintin, tintintin … (marche de l’Empereur)
[avant propos ON] Je tiens d’abord à m’excuser pour cet article « vrac ». Quand je l’ai commencé c’était très clair dans ma tête et très ordonné. Et puis j’ai commencé à écrire, et petit à petit j’en rajoutais ici ou là. Et du coup, je me suis parfois un peu emportée dans le flux des idées … Bref. Bonne chance et bon courage si vous avez toujours envie de lire. Bisous. [avant propos OFF]
Je crois que j’ai pris conscience de ma « différence » autour du Cm1/cm2. Déjà là j’avais des difficultés avec les autres. J’étais souvent rejetée. On ne voulait pas jouer avec moi. J’ai développé à ce moment là une sorte de naïveté sarcastique. Je riais de moi même. Je faisais face. L’humour comme porte de sortie. Et du fait, c’était bien accueilli et les gens « me supportaient » dans le quotidien.
En 6 ème la gène est montée d’un niveau. Je me souviens du vestiaire de sport. Des douches collectives. Des copines à poil(s). De mon maillot de bain. Je me souviens de ma poitrine qui était déjà flagrante. Et de mes pantalons de velours dans lequel mes copines s’amusaient à rentrer à deux. Je riais de leur blague. J’en faisais même sur moi même. Je m’auto flagellais, ça faisait rire. J’étais le clown et j’avais la pression, toujours faire rire, toujours faire diversion de ce corps. Alors j’ai commencé à être insolente. L’agressivité que je ressentais, je la balançais aux adultes qui voyaient et laissaient faire sans intervenir.
Je voudrais leur demander un jour pourquoi ils ont été méchants avec moi ? Il y a un prestige à taper sur la grosse ?
Le lycée a été l’apothéose de toutes ces années de souffrance. J’ai surpris ma classe de seconde à écrire des insultes sur le tableau. A mon intention. Et la surprise était préméditée, c’était un piège organisé pour que je vois ce tableau. L’année suivante il m’est arrivé à peu de choses près la même chose avec une autre classe. J’avais beau savoir qu’on ne m’aimait pas, quand ce sont des personnes différentes qui vous rejettent, vous pensez forcément que le problème vient de vous. Et ça fait évidemment super mal !
J’étais pas spécialement susceptible, mais je le suis forcément devenue. A force de m’en prendre plein la tronche j’ai fini par penser que la moindre personne qui m’adressait la parole finirait sa phrase par une insulte.
Plus j’étais rejetée et plus je cumulais les conneries : les joints, la bouffe, l’alcool, le séchage de cours… Je savais que j’étais un problème et je ne savais pas le résoudre. Je m’enfonçais et je n’ai pas trouvé comment tenir la tête hors de l’eau.
Pendant toutes ces années, de la primaire au lycée, les régimes et les rendez vous avec les nutritionnistes ont rythmé ma vie. Les crises de larmes, la spasmophilie et les tentatives de suicide aussi.
Ma maman n’a jamais été la main tendue. Ou alors on ne s’est pas comprises sur le principe. Elle a essayé de me priver de bouffe (imaginez, vous avez 12 ans, vos soeurs ont accès libre au ptit écolier chocolat et vous vous ne pouvez même pas manger un demi biscuit dans la semaine – la variante « pâtes » et « riz » a été tenté aussi) et de se la jouer « sorcière ». Je m’en prenais plein la tronche devant mes soeurs, mes amis, j’etais la grosse, pour elle aussi. Peut être qu’elle pensait que ça me mettrai un coup de pied au cul. Raté !
Humiliation sur humiliation. Je ne pense pas qu’elle ait cherché à me faire mal, je pense qu’elle ne s’est pas rendue compte de la portée de ses mots et que mon ressenti était exagéré par ma tristesse et ma colère. Les virées shopping étaient une souffrance. La carte bleue brûlait pour mes frangines. Et moi j’avais un haussement d’épaules « bah oui mais tu rentres dans rien, c’est pas ma faute ». Vous imaginez comment j’ai été soulagée de « quitter » le nid après mon bac !
La fac a été une sorte de renaissance. Je rencontrais celle qui allait devenir une amie, un brin de femme qui assumait pleinement son corps et son obésité. Pour la première fois je n’étais pas obligée de me cacher, je pouvais faire comme elle. Pour la première fois je pouvais commander une pizza et aller la chercher, j’en n’avais rien à foudre du regard des gens. J’ai acheté de la lingerie à la limite du porno et je me suis éclatée en boite de nuit dans les salles techno à transpirer comme un bœuf ! Peut être que ça dérangeait certaines personnes mais pour la première fois je m’en foutais.
Il n’y avait ni peine, ni honte, ni souffrance. Je me sentais bien. Je me sentais moi. Je pouvais rire aux éclats sans retenue, je ne regardais plus les autres, je me regardais moi et je me plaisais. Et plus je me plaisais, moins je me sentais agressée, plus j’étais entourée et moins je me sentais seule !
J’ai pris encore du poids à ce moment là jusqu’à atteindre les 120 kilos au compteur. Et des conquêtes dans mon lit qui faisaient la moitié de mon poids. J’étais épanouie et je le faisais savoir. J’avais beaucoup de relations. Je m’affichais beaucoup en public. J’étais dans le trop, trop grosse ? Peut être mais surtout « trop bruyante, trop drôle, trop allumeuse, trop sympa et trop géniale ». J’arborais des fringues très voyantes, des cheveux très rouges, du maquillage très « voiture volée » et un langage très fleuri. Dans le trop, toujours le trop !
Paradoxalement, j’ai commencé à ce moment là à surfer sur internet pour rencontrer des gens, au départ c’était mon occupation pour ne pas aller en cours. Et puis très vite, je me suis rendue compte que j’aimais ça, j’aimais créer du lien avec des gens sur qui je ne me serais peut être pas attardé dans la rue !
Et puis il y a eu la rencontre avec mon Dragon. Je me suis sentie mal quand il a fallu envoyer une photo. J’ai beaucoup pleuré à ce moment là. J’étais de nouveau la gamine qui n’était pas à l’aise. J’ai longtemps cru que je m’étais trompée de monde et qu’il fallait que j’en sorte vite, que le Dragon n’était pas fait pour moi, qu’il y avait une raison (merdique) à sa volonté de se mettre en couple avec moi, que j’étais la roue de secours, le faire valoir, que j’étais là au bon moment, que je lui faisais bien à manger ou que je voulais des enfants et surtout pas me marier…
Je n’ai pas été complexée quand il a fallu me déshabiller pour notre première fois ensemble, ni pour la visite gynéco où j’allais apprendre ma grossesse. Je n’ai pas été complexée pour me lever la nuit à poil pour allaiter mon fils. Ce n’était pas mon corps, c’était mon âme qui me complexait ! J’étais trop vulgaire, trop méchante, trop branchée cul, trop chiante, trop plaintive, trop colérique. J’avais peur qu’il me rejette pour ça.
Là, c’est là que j’ai compris que mon poids c’était peut être l’excuse idéale. Quand on me rejetait, quand on se moquait, quand on ne voulait pas de moi, je disais toujours que c’était pour mon poids. Et puis, en fait, c’était surement pas le cas pour tout le monde. Je pense juste qu’il y a des gens qui n’aimaient pas qui j’étais dedans. C’est la véritable douleur d’être mal aimée pour ce qu’il y a en dedans.
C’est là, la véritable souffrance : savoir qu’on est pas quelqu’un d’assez bien.
Dans les bras de mon mari j’existe en tant que moi. Il m’aime pour le dedans. Et je suis jolie. Et je me sens bien. Il suffit qu’il plonge son regard dans le mien et je me sens Julia Roberts ou Demi Moore. Il suffit qu’il m’enlace la taille et je me sens comme Bébé dans Dirty Dancing.
Mais je reste la femme qui crie sur son mari, sur ses gosses. Vous trouvez le personnage de Bernadette mignon dans Big Bang Theory ? Welcome dans mon monde ! Je crie tout le temps. Pour tout. Je parle fort. Je ne sais pas chuchoter. Je suis en colère pour tout et pour rien. C’est ce caractère et cette personnalité qui sont aujourd’hui mon véritable fardeau. Bien sur que je me soigne, bien sur que je corrige le tir à chaque sortie de route, mais c’est dur, et ça fait mal. Et pas que à moi. Alors parfois je referme les yeux, j’éteins les oreilles, et je me regarde dans le miroir. Cette fichue enveloppe !
Je n’ai pas de complexe à être en maillot de bain, en robe courte ou en top moulant. Je me sens désirable dans les yeux de mon mari et c’est bien tout ce qui semblait compter jusqu’à présent.
Mais (sinon ce serait trop simple) je ne me sens pas moi. Quand j’achète un pantalon grande taille, je me demande si c’est possible que ce ne soit pas pour moi. Je voudrais avoir le corps que je visualise en pensée. Je me sens toujours très sexy sur mes talons et avec ma robe noire. Mais le miroir ne me donne pas l’image que je veux.
Tiens, l’autre jour j’ai enfilé une robe violette (offert par mon amie Youminou) et je me sentais trop belle dedans, sauf que j’ai fait une photo et que ça rendait pas du tout comme dans ma tête, du coup j’en ai fait une autre où on voit quasi rien… C’est pas moi avec ce gras qui dépasse ? si ? sérieux ? Mais enfin comment c’est possible qu’il y a 10 tailles d’écart avec ce que je vois dans ma tête !?
Alors j’ai fait ce que j’avais pas fait depuis des millions d’années. Je me suis mis en sous vêtements et j’ai essayé de me prendre en photo dans le miroir. Oui. Mais non. Je ne rentre pas dans le miroir. Je. Ne. Rentre. Pas. Dans. Le. Miroir.
Je déborde du miroir.
La claque.
Je pense que même le jour où je rentrerai dans un 40 vous ne verrez pas ces photos. J’en ai refaite sans miroir après cet épisode. Et celles ci je vais les garder précieusement avec celles que je prendrais chaque mois maintenant. Et celles ci seront peut être le point d’origine d’un avant-après. Qui sait ?
Je suis frustrée de ce décalage entre ma tête et mon image (d’où l’importance des photos). C’est pour ça aussi que je veux le gommer et faire en sorte de coller au plus près à l’image que je veux voir dans le miroir. Merde je vais avoir 33 ans, j’ai déjà eu l’occasion de ressembler à ce que je voulais, il est temps de remettre ça et de tout faire pour changer ce qui ne me plait pas !
La souffrance du corps est passagère. La souffrance de l’âme, elle … En fonction des gens qui m’entourent et des mots qui sont dits, je ne ressens parfois qu’un simple malaise. Ça va de celui qui se dit bienveillant en te conseillant le dernier régime à la mode à celui qui pense que tu t’en fous et te sers un « j’adore ta façon d’assumer ton obésité » … Parfois ça fait mal. Parfois pas. Mais j’ai grandis et la gamine du lycée n’encaisse plus comme avant.
Aujourd’hui je ne peux pas être celle que je veux. Je ne peux pas faire du pôle danse, je ne peux pas faire mes lacets sans me couper la respiration ni courir dans un escalier. Je ne peux pas m’asseoir sur les genoux de mon mari. Je ne peux pas m’habiller partout et j’ai toujours peur de casser la chaise sur laquelle je m’assois.
J’aimerai m’asseoir sensuellement sur un coin de table, ou faire l’amour debout contre un mur, des conneries futiles, des caprices peut être mais si j’en ai envie, après tout, pourquoi ne pas tout faire pour les réaliser.

Tu vois, je fantasme sur le fait que mon homme pourrait me porter pour un pas de danse … (bon la morsure dans le cou et la jambe en vrac je passe mon tour)
Ce sont des détails qui sont devenus important pour moi aujourd’hui. J’ai déplacé le curseur de la souffrance. Je vais morfler physiquement et moralement pour perdre ces putains de kilos. Et j’espère que ça paiera.
Bien sur que c’est douloureux moralement, au fur et à mesure que l’enveloppe s’ouvre je libère des émotions, des sensations, des doutes qui sont comme Kiubi pour Naruto, un peu de moi mais beaucoup de « je n’en veux pas ».

On a les références qu’on mérite 😉
La souffrance physique, oui, je suis dedans. J’ai découvert les mountains climbers et j’ai failli vomir dans mon salon. Mais je vais remettre ça. Encore, et encore, et encore !
NDLR : le mois d’avril a été très bof, mais je suis à – 18 (donc sur 4 mois) et je m’accroche à ma nouvelle alimentation, à mes nouvelles habitudes (eau, thé, marche, fitness) j’ai pu m’offrir des fringues de 2 tailles de moins qu’en décembre, et je suis à 3 kilos de l’objectif fixé pour le 12 juillet !
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Bilan des 5 mois [no pain no gain]
Normalement les 5 mois tombaient le 16 juin, mais allez, c’est pas grave, on dira que pour une fois, je suis en retard sur ma publication…
Allez, un petit zoom sur ma courbe de poids des 5 derniers mois… c’est cadeau !
Suivi nutritionnel : ce que je mange (ou pas)
Un petit exemple de mes repas, pour vous dire que JE NE ME PRIVE PAS !
De toutes façon, si tu me connais tu sais que la privation c’est le truc qui me fait prendre 10 kilos psychologiques.
Poivron, concombre, tomates, oignon rouge et salade iceberg / huile de noix, vinaigre de vin, estragon, coriandre, basilic
Pavé de saumon poireau carottes oignons cuit en papillotte avec huile de noix, basilic et coriandre
Cabillaud citron estragon avec carottes et courgettes
***
Je ne peux pas te lister ce que je mange ni ce que je ne mange pas.
J’ai un suivi particulier, adapté à ce dont mon corps à besoin aujourd’hui, en prenant en compte mon passif (troubles alimentaires, obésité morbide), ma santé (psychique et physique) et ma vie quotidienne (sédentarité, heures de coucher, de lever, temps de sommeil, dépenses énergétiques)
Vous voulez avoir des conseils nutritionnels adaptés à votre vie, à vos besoins, à votre objectif ? Alors OUI, levez vous et allez consulter un PRO (et pas forcément un truc en ligne qui vous fera répondre à 5 questions dont le code de votre carte bleue).
Copier les menus trouvés sur internet ou dans un magazine ne vous aidera pas. Avant de cuisiner votre assiette vous devez comprendre pourquoi vous pouvez mettre ceci, ou ne pas mettre cela. C’est le plus difficile.
Sachez qu’on ne devrait pas faire son assiette dans le but de maigrir. On devrait manger pour se nourrir, pour donner au corps ce qu’il a besoin, pour pourvoir à ses dépenses. Aujourd’hui je donne à mon corps ce qu’il a besoin, je mange pour ma santé, je mange de la qualité (et de la quantité) et par voie de conséquence : je maigris car je n’ai pas de surplus inutile.
Et regarde, j’ai l’air de me priver ?
Oui, c’est un repas de fête, je ne mange pas ça tout les jours 🙂
Là encore faites confiance à votre suivi, à votre coach, à votre nutri, aux professionnels dont c’est le métier, qui ont été formés pour ça, qui savent mieux que vous ce dont vous avez besoin (encore une fois en fonction de votre passé, de votre parcours, de vos objectifs et de votre vie)
Tout ça, je l’ai découvert ces 6 derniers mois. Et OUI, ça prend du temps. On ne perds pas près de 30 ans de mauvaises habitudes en 2 mois.
Tout ça je l’ai découvert par mon suivi, avec mon suivi, au travers mon suivi. Suivi qui est multiple : suivi nutri, suivi psy et suivi sportif. J’ai appris quelle huile est la meilleure dans ma salade et que ce n’est pas la même qu’on met dans la poêle. J’ai appris la valeur des protéines (celles à privilégier, celles à utiliser occasionnellement). J’ai appris à ne plus consommer de trucs industriels – sauf en cas de « cheat meal » – et à cuisiner moi même pour faire la guerre aux produits transformés.
J’ai appris à boire de l’eau en quantité suffisante. J’ai appris qu’un filet de poulet suffisait (et non 2, ou 3…) dans une assiette de légumes.
Je peux vous rassurer : je n’ai pas de migraines (sauf quand je ne porte pas mes lunettes et que je passe 4h sur l’ordi) et je ne suis pas fatiguée (pas plus que la normale après une journée de travail, des gosses et des soucis personnels). Je digère mieux (c’est déjà ça). Non je ne meurs pas de faim.
Un resto, un resto… des tartes flambées partout …
Je fais l’impasse sur le passage sur les Ig bas, l’utilité des glucides, l’insuline, les hydrolises, le glycogène, les acides gras libres et le glucagon (qui n’a rien à voir avec Calgon) parce que d’autres font ça vachement mieux que moi… et que ENCORE UNE FOIS (punaise si t’as pas compris hein…) on (des PRO) a évalué MES besoins (à moi) qui ne sont pas ceux du voisin, du petit frère, de la cousine ou de la grand mère ! Donc ça ne te servirait à rien que je te donne une liste de ce que tu peux toi, manger !
Le japonais c’est un peu mon pot de glace ben&jerry #drogue
Et si vous voulez comprendre les glucides, leur fonctionnement, leur utilité et leur quantité, je vous invite à regarder cette vidéo (jusqu’au bout, surtout si vous êtes en surpoids)
Suivi sportif : ce que je commence à faire (ou pas)
Ces dernières semaines j’ai découvert des exercices comme les montains climbers, les donckey kicks et aussi les rowing et les biceps curl …
Coucou pinot noir sur mes ongles, coucou l’haltère 3 kilos de sport2000
J’ai découvert que j’avais des muscles sous mon gras. Et j’ai certains de ces muscles qui se développent assez rapidement. C’est le cas du biceps (la petite bosse quand vous relevez votre avant bras) qui m’impressionne de bonne volonté ! Même mon homme a remarqué que c’était plus dur, plus ferme et que mon bras changeait. (je pouvais pas commencer par changer du cul, non, d’abord le bras, super …)
Ce n’est pas facile de tenir le rythme et la cadence des training, je respecte le temps de repos tant que les courbatures, la « douleur » est là. Parfois je laisse 2 jours, parfois 4. Ensuite je recommence.
Et bis repetita.
Je n’irai pas courir demain, peut être dans 1 an qui sait ? Encore une fois, VOTRE entrainement n’est pas celui du voisin, qui n’a ni les mêmes motivations, ni le même métabolisme, ni le même parcours, ni la même génétique, ni la même alimentation, ni le même corps ! Mes genoux, mes chevilles, mes hanches, mon bassin sont d’autant d’articulations qui ont soufferts de mon obésité pendant des années, je n’ai pas le droit de les malmener, je dois encore perdre du poids, puis les réparer (muscler) en douceur pour qu’elles puissent ensuite me porter et m’aider à travailler d’autres parties de mon corps.
Le suivi passe aussi par des soins particulier. J’ai commencé par voir un médecin, j’ai continué avec un ostéo. C’est important de soigner votre corps, de l’écouter, de l’aimer. Vous faites équipe avec lui.
Allez Tata Gwen, un avant/après (ou pas)
D’abord contexte, j’ai commencé le 16 janvier, j’ai écrit l’article le 16 juin, donc 5 mois.
Côté fringues, je suis passée de la taille 56 à la taille 48.
Je rentre même dans le XL/46 de pimkie (mais pas celui de camaïeu) !!!
Côté poids, je suis passée de 120 kilos à 98 kilos (depuis je suis passée à 97 kilos)
***
Objectif réalisé (et dépassé) avec un mois et demi d’avance : atteindre les 99 kilos.
Objectif suivant 1: atteindre 89 kilos pour Noël.
Objectif suivant 2: rentrer dans du 42 en juillet 2018 (la taille sous laquelle je n’ai jamais réussi à descendre)
… to be continued …
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2 Commentaires
Publié dans Blabla, Ma balance est une pute
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