On vous le dit de mettre de la crème solaire, on vous le répète de protéger votre tatouage, d’en prendre soin. Et bien sur que OUI, ça va de soi, vous comptiez suivre les précieux conseils du tatoueurs.
Et puis un dimanche (MI MARS), à 14h, vous allez échanger quelqules passes de ballons au fond du jardin. A 14h15, vous rentrez.
15 min. 15 min de soleil, bras nu.
Le soir même, j’avais la peau brûlante, j’avais mal au toucher. J’ai mis un peu de bépanthène après une douche. Le lendemain, les ailes supérieurs en orange de ma fée avaient complètement boursouflé !
J’ai pris conseil auprès de la tatoueuse (la pro) et de ma sœur (habituée). J’ai été rassurée même si bon, franchement, c’est moche quoi !
Boursoufflures, démangeaisons, aspect rugueux, sensation de chaud, aspect granuleux, et bordel un inconfort flagrand sur le haut du bras. Et uniquement sur le orange hein…
J’ai même eu des peaux mortes blanches (comme l’été quand on pèle) et j’ai cru y laisser de la couleur, croyez moi !
C’est parti après 8 jours. Le tatouage a retrouvé son aspect lisse, et sa couleur d’origine. Intact. Mais bordel, quand on vous dit de mettre de la crème solaire, c’est AUSSI en MARS ou AVRIL ou MAI et pas seulement au bord de plage. Ou alors couvrez vous. parce que c’est quand même un peu con de se taper ce genre de chose.
Même si, grâce au confinement, j’ai pas eu à montrer l’horreur.
Vivement la suite avec Natacha, quelques retouches ne seront pas de trop 😉
Mademoiselle Rêve (Gwen) 
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