Ce n’est pas la première fois que l’auteure s’intéresse au 3ème âge, et ce n’est pas la première fois qu’elle nous donne lecture de son talent dans la narration de la rétrospective.
C’est toujours frais, toujours drôle et toujours facile à lire.
J’ai commencé le livre dimanche après midi, je l’ai terminé lundi soir. Je suis de celles qui n’aiment pas abandonner les personnages en cours de lecture. Il me faut la fin, vite.
J’ai aimé le fil, j’ai aimé les sentiments dépeints, délicats comme une peinture à l’aquarelle.
J’ai aimé l’agressivité, j’ai aimé la hargne, j’ai aimé la colère parfois glaçante et saisissante comme une chute dans un lac gelé.
J’ai aimé les personnages, toujours aussi attachants et emprunts de vie. Il y a ceux dont on veut savoir le secret, ceux qui nous surprennent, ceux que nous avons deviné…
J’ai lu un peu de ma mère, je crois. Et de moi, je crois aussi. J’ai lu des douleurs que je connais. J’ai lu des larmes que j’ai versé et des chagrins que j’ai consolé.
Encore un joli roman que nous donne à lire Virginie Grimaldi !
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